Retour sur l’origine des conflits : pourquoi le manque d’estime sans dire pousse a prendre le mauvais mari… et va mener le couple d’la crise a Notre rupture.
Pourquoi certains couples s’entendent-ils beaucoup malgre leurs differences et d’autres vivent mal un vie commune ? Durant nos seances, j’entends parfois des declarations telles que : « Je ferais n’importe quoi concernant le recuperer », « Elle est tout me concernant », « J’ai besoin d’une soeur pour vivre » ou « Je ne peux gui?re vivre seul », puis en creusant legerement, nous nous apercevons en dialoguant que la cause reelle en separation, ou du conflit conjugal, vient du manque de confiance en soi du conjoint qui me consulte, ainsi, parfois des deux.
L’estime de soi en couple vient de l’importance qu’on donne a ce que le conjoint, ou mari de life, pense de soi.
> Si votre importance reste elevee, que A pense : « Que B va-t-il penser de moi ? », il va lui envoyer des signes qu’il manque de confiance en soi et espere de nombreuses l’autre. Cela va s’adapter a votre qu’il croit que B pense de lui. Sans le savoir, puisqu’ayant peur de lui deplaire, il ne saura pas l’interroger et se confronter a sa propre peur de facon posee et responsable. B aura l’impression d’avoir affaire avec votre conjoint flou, ambivalent dans ses decisions et ses propos. Cette ambivalence entrainera tensions et desaccords difficiles a denouer tant que les conjoints n’auront pas su faire face a la crainte de deplaire de l’un, ainsi, le sentiment de ne plus reconnaitre le conjoint, de l’autre.
> En revanche, si elle est faible, que A pense « Je fais comme je l’entends car c’est comme ca que je me sens bien », il va envoyer le message qu’il a confiance en soi. Et il restera soi sans s’inquieter de votre que pensera B. Ainsi, B saura qui il aura en face de lui : votre A bien distinct, jamais un A qui cherche a etre un prolongement de lui et voudra lui plaire a tout prix de peur d’etre desapprouve, et apri?s quitte. La relation peut donc se vivre sainement, sans que l’un cherche a etre le prolongement de l’autre ni que l’autre porte le malaise de cette dependance et cherche a s’en defaire, entretenant ainsi un cercle vicieux.
Or, a toutes les debuts d’une relation, le A manquant de confiance en soi va chercher a masquer son deficit en faisant son possible pour impressionner B et montrer la meilleure image de soi. Les debuts de la relation amoureuse, valorisante pour nos deux amants, l’aideront a se montrer sous le meilleur jour. Inquiet d’etre demasque, il taira egalement ses croyances limitantes sur les porteurs de l’autre sexe (« ces dames, l’ensemble des memes ! », « Les hommes, ces obsedes ! », etc. Vous en connaissez si»rement une ribambelle). Elles revelent davantage une peur de reconnaitre les manquent de connaissances de l’humain qu’un desir d’aller a sa propre rencontre. Pourquoi ? C’est bien juste moins fatigant de rester beaucoup au chaud au sein d’ ses stereotypes que de nos remettre en cause.
Ainsi, A pensera :
« Je ne vais rien dire a mon conjoint de votre que je sais des hommes – l’ensemble de ces laches datingmentor.org/fr/romance-tale-review! –, me montrerai forte et m’occuperai de tout, comme ca il ne s’apercevra nullement que je ne vaux jamais grand chose au fond… et il gardera »
En retour, B se dira :
« ma moitie reste admirable ! Je peux me reposer sur elle puisqu’elle s’occupe si bien de tout et semble aimer ca. »
Jusqu’a ce que A ne montre sa deception de vivre avec un conjoint a qui elle reproche son manque de responsabilites, bien en l’entretenant, et que B ne s’apercoive que A placait de trop grands espoirs en lui, qu’il ne pourra nullement combler.
Pour minimum que B masque lui aussi son manque de confiance en soi depuis le commencement, ils se retrouveront ensemble dans un jeu de faux-semblants.
« Je ne suis gui?re celui que tu crois, mais je m’efforce de l’etre de peur que tu m’abandonnes »
Quelle est l’alternative ?
Avant Notre rencontre, etre sincere quant a votre qu’on pourra apporter a l’autre et ce qu’on attend de lui. Et apres que le couple soit forme et se retrouve dans une hurle conjugale, au bord en rupture, amener soi avec honnetete, sans attendre que l’autre ne se transforme en infirmier. Et l’inviter a faire de meme. Comme forcement, etre acteur de sa vie, plutot que spectateur.
Prune Quellien
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